QUAND Rached Ghannouchi criait sur tous les toits qu’Ennahdha jouera pour les trois titres et briguera les trois présidences, quelques jours avant le premier tour de l’élection présidentielle tenue le 15 septembre, personne, y compris parmi ses adversaires les plus virulents, n’aurait misé un sou sur le fait de voir, aujourd’hui, le parti de Montplaisir autoproclamé «parti de la révolution» …